Master of Puppets
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Master of Puppets

École supérieure de torture formant les prochains maîtres dans cet art. Petite société sanglante. Monde aux milles lames, aux milles drames, aux milles larmes. Galerie des horreurs, royaume des fous. Bienvenue.
 
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 Adam Williams [Terminée]

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AuteurMessage
Adam Williams
Faux
Adam Williams


Messages : 40
Date d'inscription : 28/06/2009
Age : 32

Feuille de personnage
Relations::
Armes:: Un katana et deux magnums.
Animal: Aucun.

Adam Williams [Terminée] Empty
MessageSujet: Adam Williams [Terminée]   Adam Williams [Terminée] Icon_minitimeDim 28 Juin - 15:04

Informations utiles:


Nom: Adam
Prénom: Williams
Age: 19 ans
Sexe: masculin
Préférences sexuelles: Hétérosexuel.
Rang dans l'établissement: Faux
Armes possédées: Un katana et deux magnums..
Spécialités choisies: Sexe et bondage / Lames et Calligraphies / Amour et lâcheté / Solitude et rétrospection


Personnalité:



Caractère général: Plonge tes yeux dans les miens. Plongeons ensemble, introspection révoltantes et narcissiques du dément poète décadent, romantique sanglant. Apologie du mal je suis un dominant, un maudit. Absinthe dans mon sang je bois trop, je fume trop, trop de substances narcotiques. Je suis machiavélique et manipulateur, égocentrique et complètement fou. Possessivité exacerbée, mon cœur est jalousie. Il est aussi risqué pour toi d’obtenir mon amour que ma haine. Protecteur et tueur. Se nourrissant de la douleur de ce qui m’importune, personne sur mon chemin car je suis le meilleur. Je me regarde dans la glace, déchéance mélancolique de la beauté. Je suis la classe révolue, le chic déchiré, le sublime éclaboussé, souillé, drogué, alcoolique et violent, orgueilleux et traître. Je concentre sur un fond immaculé, toute la noirceur impossible à percer que je peux trouver. Dialectique de la mort et du vivant, vif balancement entre le plaisir et la douleur. Suis je encore humain, il semble que je le sois trop, beaucoup trop, si humain que je sature et m’abandonne à une démence animale. Amoureux de l’art et adorateur du sang, soumettez vous, j’adore ça.
Son plus grand défaut: Des défauts, je n'ai presque que ça et j'aime mes défaurts, je les cultive, ils font de moi un être parfait, le plus grand de ces défauts étant sûrement cet instinct animal qui me pousse à vouloir dominer absolument.
Sa plus grande qualité: Ma plus grande qualité est sans aucun doute mon talent artistique, bien que les notions d'art qui taraudent mon esprit tordue ne soit sûrement pas les mêmes que les vôtres.
Sa plus grande peur: Ma plus grande peur est d'être soumis.
La raison de sa présence : Je suis ici pour devenir le plus fort des êtres humains, je suis ici pour parfaire mon art et le répandre sur la terre.


Apparence:



Allure générale:Je suis beau, vérité narcissique d’un despote de la perfection. En vérité mon corps doit être une œuvre d’art, avec des muscles parfaitement dessinés, ni trop ni pas assez, un visage fin aux traits durs créant un contraste admirable. Des yeux vairons, l’un bleu et l’un vert ou l’on peut lire une mélancolie démente et sanglante. Mon physique exhale une poésie décadente qui forme tout mon être. Grand et fin, j’ai de beaux cheveux bruns en bataille qu’on pourrait qualifier de courts sans l’être vraiment. De belles lèvres fines qu’on a envie d’embrasser. J’ai un physique de séducteur. Une peau ni trop pâle, ni trop bronzée. Des avants bras tatoués et des mains aux veines saillantes. Un autre tatouage sur le dos représentant de manière assez abstraite et psychédélique une croix.
Taille: 1 mètre 79
Poids:71 kilos
Tics ou manies: Je passe systématiquement ma main dans mes cheveux et dans ceux des gens que j'apprécie. Je me mord la lèvre lorsque j'éprouve du plaisir, notamment lorsque j'exerce mon art de la torture.


Passé


Histoire: Je n’ai sûrement pas eu une enfance facile. Je dirai même qu’elle fut carrément atypique, atypique et invivable. Il est dur de revenir sur de tels événements, mais ils ont fait ma vie, mon œuvre. Longue décadence pour atteindre l’apogée de l’art, encore perfectionnable, douloureuse déchéance crescendo de la folie. Ma vie est l’apologie de la démence, l’apologie du mal car ce que j’ai vécue à fait de moi une personne mauvaise. Ma mère était déjà folle, je suis né en asile, et les psychiatres ont décidé de me laisser là bas me faire élever par ma mère qui a eu un second enfant, avec le même fou ou bien avec un autre. Personne ne le sait, ma mère était de toute manière muette. Elle m’éleva jusqu’à mes huit ans ou elle mourut. Alors un des psychiatre décida de m’adopter. Mais grandir dans un asile ne peut que planter en nous les germes de la folie. Je grandis alors avec deux petites sœurs jumelles, mon père adoptif, le psychiatre, et sa femme, une poète un peu tarée elle aussi, qui sembla tomber amoureuse de moi lorsqu’elle me vit pour la première fois. Tout le monde fit des efforts pour moi, notamment la mère, mais comment faire, j’étais extrêmement renfermé et de plus je refusais de parler. Traumatisé par la mort de ma mère et ce nouveau monde que je trouvais si étrange. En vérité pour moi la normalité était le monde dans lequel j’avais grandit et toutes ces personnes, c’étaient elles les folles. La famille était aisée, et on m’apprenait le kendo et les arts martiaux ainsi que le violon et le violoncelle. Mme Williams me lisait chaque soir les poèmes qu’elle écrivait. Macabres et sanglants, elle trouvait la beauté et la poésie dans la douleur, et je me mis à l’admirer et à m’ouvrir à elle. A treize ans, cette pauvre folle m’avoua son amour, je me souviens si bien de la scène.
La femme entra dans ma chambre, dans sa longue robe de soie blanche, elle était magnifique et la transparence du vêtement laissait deviner qu’elle n’avait rien en dessous. Sa blonde chevelure, sa belle poitrine, elle laissa tomber sa robe. Elle s’approcha de moi, me retira chaque vêtement et approcha sa bouche de mon membre. Quand avait elle perdu sa raison, comment ? Le saurais je un jour ? En tout cas nous fîmes l’amour. Moi pauvre enfant perturbé ne comprenant pas trop mais aimant, aimant cette femme comme ma mère me donnant de la tendresse. Elle revint chaque soir, jusqu’à ce que le père comprenne. Il la tua, la fit ressembler à un de ses tristes poèmes. Et je la trouvais deux fois plus belle. Mais sa mort me déchira. Je devais rendre la pareille à son père. Ce choc annihila le premier et je retrouvais la parole. Je m’approchais des jumelles.
Et un jour, je ris, devant le visage de l’homme, face à ses deux jeunes filles défigurées et je lui dit.
« Moi aussi je peux faire des poèmes, moi aussi je peux faire des choses jolies, tu vois papa. Ça te plais papa ? »
J’avais quinze ans, et je venais de perdre toute raison. L’homme me maudit et se suicida. Je m’amusais alors sur son corps. L’embrassais, je fis l’amour en vérité à son corps mort. Et finalement, saisissant un couteau de cuisine, je créais une nouvelle œuvre.
Moi Adam Williams, je finis mon éducation dans la rue, je pris dans le coffre fort de mes parents adoptifs tout ce qu’il restait, j’avais pris aussi les carnets de ma mère adoptive. Je passais mon adolescence dans les cafés littéraires et les rues. Gagnant ma vie en publiant mes poèmes et les siens ainsi qu’en me battant grâce à ce que j’avais appris. Je trouvais un protecteur en le patron de mon bar préféré. Je goûtais à la drogue, à l’alcool. Et un jour que cet homme avait trop bu, il tenta de me violer. Je me défendis, bien assez fort, et m’enfuis. Mais trois jour plus tard l'homme reçu une lettre signée de ma main. Dessus un simple poème, décrivant sa mort. Sa mort très douloureuse. Et une semaine plus tard exactement, elle se réalisa. Psychopathe, j’avais déjà trouvé ma méthode de meurtre. J’étais un amoureux de l’art, et la torture était un art.
J’avais 16 ans et dans la rue ou je vivais tous me respectaient. Plus d’un étaient mort. Et je les avaient tous soumis. J’étais le roi. Formulaire d’inscription pour le centre d’apprentissage de la torture « master of puppets », voilà le papier que je récupérai sur une de mes victimes, un rival éliminé. Je me renseignais et je tombais vite amoureux du concept.

Apologie du mal, décadence de la poésie. Foutre noir engluant mon esprit un jour pur. Beauté immaculée souillée par le sang. Ne jamais aimer, ne jamais se laisser soumettre. Au dessus de tous écrire de ma lame, des poèmes à l’encre de sang.



Informations diverses:


Aptitude au combat: J'ai appris le kendo, le karaté et le taekwondo dans ma jeunesse, je me suis amusé à mélanger les styles, ce qui m'a permis de m'en sortir comme un dieu dans les combats de rue.
Signe particulier:
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